Nous vous proposons un condensé de l’actualité autour de l’observance, la PDA et le bon usage du médicament en général, en ce mois de février 2019.
Voici une sélection de quelques articles, que nous partageons aussi avec vous quotidiennement sur les réseaux sociaux Twitter et Facebook @medissimo
31/01/2019
Un diabétique sur trois achète moins de 80 % des médicaments prescrits
Comme le rapporte le Quotidien du Médecin, le Professeur Gérard Reach, endocrinologue à l’hôpital Avicenne, à Bobigny, nous indique qu’un patient diabétique sur trois est non-observant, c’est-à-dire qu’il achète moins de 80 % des médicaments prescrits, un chiffre qui ne prend pas en compte les médicaments non pris une fois achetés. S’il est utile selon lui de lutter contre l’oubli grâce notamment aux piluliers, il faut principalement travailler sur le temps médical et la relation thérapeutique. Cet article détaille certaines de ses préconisations.
Testez votre observance avec notre questionnaire : « Votre Santé« .
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— Nicolas Gombault (@NicolasGombault) February 6, 2019
26/02/2019
Une campagne inédite contre les accidents médicamenteux, plus meurtriers que ceux de la route
Les médicaments, s’ils sont mal utilisés, peuvent avoir des conséquences dramatiques. C’est ce que l’on appelle la iatrogènie. Comme le rappelle cet article 20 minutes, elle occasionne 7500 décès et 130 000 hospitalisations chaque année en France. C’est pour alerter les 30 000 patients de la région qui doivent prendre dix médicaments ou plus, que l’Assurance maladie des Pays-de-la-Loire a lancé une campagne de communication inédite. Oublier de prendre un médicament ou surtout oublier que l’on a déjà pris ce médicament peut être dangereux, et l’une des pistes présentées est l’utilisation d’un pilulier et d’une application mobile. Mais il y a d’autres risques que nous rappelle cette vidéo.
08/02/2019
Les médecins ne veulent pas de consultations rapides
Le projet de loi santé prévoyait une consultation de 10 minutes par patient parce que la demande de soin augmente alors que le nombre de médecins diminue. Pour les réduire de 7 minutes en moyenne, le gouvernement a prévu de leur adjoindre des assistants médicaux, pour les soulager des tâches administratives ou d’examens simples. Les syndicats de médecins ont protesté car ils ont besoin de temps avec leurs patients mais aussi car ces examens sont plus utiles s’ils les font eux-même. Au final, comme le rappelle cet utilisateur de twitter, l’observance des patients pourrait aussi en pâtir.
Consultation courte
➡️ le patient ne se sent pas écouté et se sent mal soigné
➡️ anamnèse et examen clinique incomplets donc risque d’erreur
➡️ pas le temps de réfléchir donc prescriptions d’examens inutiles
➡️ pas le temps de bien expliquer donc mauvaise observance du traitement— Doc Jeanaimarre (@DocJeanaimarre) February 10, 2019
01/02/2019
À l’intérieur de la boîte, une drôle d’histoire entre une aspirine et un antibio / « Je suis allergique aux génériques ! »
Plus insolite, mais néanmoins intéressant, deux créations liées aux médicaments et à la pharmacie. Allan Mimouni, pharmacien dans le 17ème arrondissement de Paris, a décidé de prendre ses crayons pour dessiner les situations les plus cocasses vécues par les pharmaciens au comptoir. Dans la seconde, Claire Fouquet a présenté au Festival d’Angoulême une notice pas comme les autres racontant l’histoire d’une aspirine et d’un antibiotique afin de sensibiliser à l’antibiorésistance. Cette BD est dissimulée dans une fausse boîte de médicaments, fallait-y penser !
- À lire sur LCI et le Quotidien du Pharmacien
02/2019
On en parle sur Twitter
"Même en bivouac, prends ton medipac". On pense que ce patient a passé un bon week-end et on le remercie pour cette photo. C'est vrai que medipac est nomade et aide à simplifier le quotidien. Vous-aussi n'hésitez pas à nous envoyer vos photos avec le pilulier medipac. pic.twitter.com/vuAFZs5DYw
— Medissimo (@medissimo) February 25, 2019
« Pilulier connecté : le mal aimé ! »
Cet outil d’observance pour les patients âgés est très peu utilisé. Explication de C.Blochet @medissimo : « Les professionnels de santé, dont les pharmaciens, ne traitent pas les données en temps réel ». In #pharmacienmanager de février 2019. pic.twitter.com/Hzvft3wTa5— Matthieu Vandendriessche (@matvdd) February 11, 2019
Sur 100 patients vus par 1 médecin généraliste en 1 semaine, au moins 1 sera victime d'une erreur médicamenteuse potentiellement grave.Des stratégies de gestion peuvent être mises en place cf 1 expérimentation en #MSP : https://t.co/x7iTESZE4O via @CMGF_Congres CC @EQuiP_Quality pic.twitter.com/23Y90BdzOy
— Karim Sandid MD, MSc (@Karim_Sandid) February 19, 2019
[Etude] Plus le #patient est connecté, plus il s'implique dans le traitement de sa maladie #esante #hcsmeufr https://t.co/5hQfeeythz
— Celine Sportisse (@CelineSportisse) February 22, 2019
L’#IntelligenceArtificielle s’allie à votre #pilulier pour vous assurer le traitement le mieux dosé, travaux d'Adrien Coulet du @labo_Loria
➡ https://t.co/AXZwZ19u1A pic.twitter.com/q49gwadGT1— Numérique au CNRS (@INS2I_CNRS) February 13, 2019
📌 Nouvelle Fiche Patients sur notre site internet :
🔸Quels sont les risques liés à une mauvaise observance ? 🔸
N'hésitez pas à en discuter avec vos patients et à leur diffuser !
▶️ https://t.co/r1Vl8A1q1t pic.twitter.com/pgx1Qev5Tj
— Réseau Fr CRPV (@Reseau_CRPV) February 6, 2019
2 impératifs: «Un patient chronique traité à domicile coûte environ 200€ jour, dix fois moins que lorsqu'il est à l'hôpital» directrice innovation Sanofi; Mais "il y a un risque d'isolement et de perte de relation avec le corps médical», présidente association Patients en réseau
— Juan PINZON (@JPinzonmendoza) February 11, 2019
Et aussi :
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